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L’IFC, membre du Groupe de la Banque Mondiale, et Amundi, le leader européen de la gestion d’actifs, annoncent le closing du fonds SEED, ou « Sustainable Emerging Economy Development Debt » (le « Fonds »), un compartiment d’Amundi Planet II, SA SICAV-RAIF. Lancé en 2021 en marge de la COP26 à Glasgow, le Fonds a levé 436 millions de dollars auprès d’investisseurs institutionnels dont l’IFC, Alecta, Cassa Depositi e Prestiti (« CDP ») et APK-Pensionskasse, mobilisant ainsi des investissements privés dans les obligations durables des marchés émergents, avec pour objectif de promouvoir une reprise économique durable, résiliente et inclusive. Le Fonds est classé article 8 en vertu du Sustainable Finance Disclosures Regulation (SFDR)

Ce partenariat comprendrait trois volets : La fusion d’Amundi US avec Victory Capital ; Une prise de participation stratégique d’Amundi dans Victory Capital Des accords de distribution internationaux et réciproques d'une durée de 15 ans entre Amundi et Victory Capital ;

Dans la synthèse de son dernier rapport publiée en 2023, le GIEC renouvelait son alerte sur la nécessité de réduire fortement les émissions de gaz à effet de serre, lesquelles contribuent à réchauffer le climat à un rythme sans précédent. Si l’augmentation de la température planétaire par rapport à l’époque pré-industrielle dépassera +1,5°C dès le début des années 2030 quels que soient les scenarios, la période est aujourd’hui cruciale pour enrayer l’ampleur des changements futurs et contenir cette hausse bien en dessous de 2°C et la limiter à 1,5°C tel que prévu par les Accords de Paris.

Le Crédit Agricole, via son startup studio La Fabrique by CA, Crédit Agricole Aquitaine Expansion, et Crédit Agricole La Réunion - Mayotte, annonce un investissement dans la société bordelaise CibleR. Cette prise de participation vise à soutenir et renforcer l'économie locale en proposant une solution de paiement fléché et d’IA générative vers les acteurs des territoires. 

Au cours des dix prochaines années, la croissance pourrait être plus forte et l’inflation plus faible que nos prévisions à long terme établies en 2023, notamment grâce aux gains de productivité résultant de l'adoption de l'intelligence artificielle (IA). Les retards en matière de politiques climatiques augmenteront les risques et les coûts économiques à horizon 2050. Les rendements attendus sur 10 ans sont légèrement inférieurs aux prévisions de l'année dernière, en particulier pour les actions des marchés développés. Les obligations redeviennent un moteur de performance clé dans l’allocation d’actifs, leur potentiel de rendement étant meilleur que lors de la décennie passée. Concernant les actions, nous voyons une réorganisation des préférences régionales, avec un regain d'intérêt pour les marchés mondiaux et émergents. L'Inde devrait présenter le potentiel de rendement le plus élevé, tandis que l'Europe gagne en attrait parmi les marchés développés. Les obligations des marchés émergents et les actifs réels et alternatifs sont intéressants en termes de diversification et méritent une place plus importante dans une allocation stratégique.