-
Consulter l'article
#EconomieLa Chine n’est pas le Japon des années 1980 et c’est à la fois une bonne nouvelle et un grand problème
15.04.2024 -
Consulter l'article
#EconomieChine : confiance, guerre des prix et crédibilité, les maîtres-mots de ce début d’année
26.03.2024
- 29.10.2009
- 3 min
- 0
-
0
Evry & Lille, le 29 octobre 2009
Suite à une initiative des syndicats de Sofinco, le Tribunal de Grande Instance de Paris a décidé de suspendre ce jour un plan de suppressions de 199 postes sur la base du volontariat.
Cette décision ne remet par ailleurs pas en cause le projet de fusion entre Sofinco et Finaref.
Prenant acte de cette décision, les directions de Sofinco et Finaref ont décidé :
- de ne pas faire appel de cette décision,
- de poursuivre le dialogue avec les partenaires sociaux afin d'apporter rapidement les adaptations au plan de départs qui permettront la mise en ?uvre du projet de fusion.
Dans un contexte de recul historique du marché du crédit à la consommation, ce projet permettra à Finaref et à Sofinco d'unir leurs compétences et savoir-faire afin de renforcer leur développement vers de nouveaux marchés, de poursuivre le développement international et de consolider leurs pôles d'excellence.
Ce projet de fusion des sociétés Sofinco et Finaref avait été présenté le 27 mai 2009 aux comités d'entreprise des deux filiales spécialisées de crédit à la consommation de Crédit Agricole S.A. A l'issue de cette fusion, Sofinco et Finaref seraient regroupées pour former Crédit Agricole Consumer Finance.
Dans un esprit d'ouverture et de concertation, un accord de méthode avait été signé le 16 uillet entre la direction générale et l'ensemble des syndicats prévoyant le rendu d'un avis des instances sociales sur ce projet fin octobre.
Ce projet de fusion a pour ambition la création d'un des principaux opérateurs du crédit à la consommation à l'échelle internationale. Avec ce projet, Crédit Agricole Consumer Finance serait leader du crédit à la consommation en France et en Europe (71,2 milliards d'euros d'encours gérés en France et à l'international).
Le projet initial prévoyait un plan de réduction de 199 postes, sur un effectif total de 4.041 collaborateurs en France. Afin de préserver les intérêts des collaborateurs, Sofinco et Finaref avaient fait le choix d'un plan de suppressions d'emplois basé uniquement sur le volontariat, avec :
- d'une part, l'engagement de ne pas fermer les sites pour lesquels il n'aurait été possible de trouver une solution pour chacun des collaborateurs concernés,
- et d'autre part, des modalités d'accompagnement complètes : mobilités internes, possibilité d'un départ en préretraite pour les collaborateurs âgés de 57 ans et plus, choix d'un temps partiel aidé avec une compensation pour partie du différentiel de salaire, mobilités externes.