Lutter contre l’esclavage moderne, le travail forcé et le trafic d’êtres humains

Les enjeux
Une nouvelle loi britannique destinée à lutter contre les manquements en matière d’esclavage moderne et de traite des êtres humains est entrée en vigueur depuis 2016 : le « UK Modern Slavery Act ». Elle créé une obligation de publier, annuellement, une déclaration sur les mesures prises par la société pour lutter contre l'esclavage moderne, le travail forcé et le trafic d’êtres humains, pour elle-même et tout au long de sa chaîne d’approvisionnement (ses fournisseurs et sous-traitants). Les entreprises concernées sont toutes celles qui sont présentes ou ont des activités au Royaume-Uni.
NOTRE RÉPONSE
Compte tenu de ses activités au Royaume-Uni et ainsi conformément à la section 54 du « Modern Slavery Act 2015 », Crédit Agricole S.A. a publié une déclaration qui décrit les mesures prises au cours de l'exercice clos le 31 décembre 2016 pour lutter contre toute forme d’esclavage moderne et de traite des êtres humains dans ses activités et dans ses relations avec ses fournisseurs.
Le Groupe s’est engagé à lutter contre toute forme d’esclavage moderne et de traite des êtres humains dans sa chaîne d'approvisionnement et exige les mêmes engagements de la part de ses fournisseurs.
Les principaux engagements s’inscrivent, sans s'y limiter, dans le cadre des principes fondamentaux exprimés par différents textes aussi bien externes, dont le Groupe est signataire (Charte des droits humains, Pacte mondial des Nations-Unies), que des engagements formalisés en interne (stratégie RSE, Charte Ethique du Groupe). Le Groupe prévoit également dans cette déclaration de mettre en place des mesures pour évaluer et gérer les risques dans ce domaine.
Cette déclaration a été approuvée par le conseil d'administration de Crédit Agricole S.A.