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Nos positions en détails

  • Le Crédit Agricole s'engage pour lutter contre le changement climatique

    En 2014, les énergies renouvelables ont représenté plus de la moitié des dossiers de financement de projets de centrales électriques. Le Crédit Agricole est le 1er groupe bancaire financeur des ENR en France. Particulièrement engagé sur le segment des nouvelles énergies comme la méthanisation avec une part de marché de plus de 80%, le Crédit Agricole est aussi un acteur international majeur en matière d’énergies renouvelables avec 20 GW d’ENR installés dans le monde fin 2014 soit l’équivalent de la consommation annuelle de 10 millions de foyers français.

    Elle est la seule banque au monde à publier un montant de ses émissions de CO2 financées

    Depuis 2010, le Crédit Agricole tient à quantifier les émissions de CO2 liées à ses activités de financement et d’investissement, via un calcul qui prend en compte la gestion d’actifs. Le montant des émissions annuelles a été estimé à 160 millions de tonnes de CO2 pour l’année 2014, dont 100 millions pour les grands projets d’infrastructures en France et dans le monde. 

    Enfin, en mai 2015, le Groupe Crédit Agricole a décidé de ne plus financer les projets de mines de charbon ni les exploitants spécialisés dans cette activité.

    L’environnement et l’énergie font partie intégrante du plan d’entreprise à long terme du groupe

    Le Crédit Agricole a choisi de faire de l’économie de l’énergie et de l’environnement un domaine d’excellence dans son projet de Groupe 2010 puis dans son Plan 2014-2016 avec 4 objectifs :

    1. accompagner les clients vers la performance énergétique,
    2. intensifier la présence dans les énergies renouvelables,
    3. financer les projets et les services à l’environnement,
    4. devenir la banque de référence de l’épargne utile et responsable.

     

     

  • Pour le Crédit Agricole le respect des droits humains est un devoir ...

    ... garanti pas des politiques sectorielles internes et par des engagements tenus auprès d'organismes internationaux

     

    Le Crédit Agricole est la première banque française à avoir adhéré aux Principes Equateur dès leur lancement en 2003.

    Ces principes de référence en matière de financement responsable incitent les signataires à évaluer leurs projets de financement suivant des critères environnementaux, mais aussi de protection de la santé publique, de sécurité et de respect des droits de l’homme. Ils permettent également aux communautés qui seraient affectées par les projets de bénéficier d’un mécanisme de recours.

     

    Le Crédit Agricole assure la mise en oeuvre effective du respect des droits humains

    Crédit Agricole CIB a institué en 2008 un Comité d’Evaluation des Risques Environnementaux et Sociaux (CERES) qui assure le suivi de la mise en œuvre et du respect des Principes Equateur et des politiques sectorielles du Groupe. Il valide la classification des évaluations et émet des recommandations pour les dossiers présentant des risques adverses potentiels sérieux en ce qui concerne les droits humains. 

    La problématique des Droits humains est directement concernée par les politiques sectorielles qui s’appliquent à l’ensemble du Groupe, et plus particulièrement aux secteurs les plus à risque comme celui des mines et métaux.

     

    La banque offre à ses clients des financements et des investissements à la fois innovants et responsables via sa filiale Amundi.

    Fer de lance de la politique d’investissement socialement responsable du Crédit Agricole, la filiale de gestion d’actifs Amundi exclut toute entreprise ne respectant pas les normes ou les conventions internationales en matière de droits humains et de droit du travail.

  • Les activités du Crédit Agricole sont menées dans le strict respect des droits du travail

    Les engagements internationaux souscrits par le Crédit Agricole auprès du Global Compact, des Principes Equateur et des Principes de l’Investissement Responsable (PRI) ont été déployés en fonction des métiers et de leurs impacts sur les droits humains et aussi sur le droit du travail.

    La politique d’investissement de notre gestionnaire d’actifs Amundi est basée sur plusieurs principes dont celui de promouvoir le respect des conventions de l’OIT en termes de droits humains et de conditions de travail. Ce type de filtre s’applique à plus de 4 000 émetteurs dans le monde. Les infractions aux droits humains et droits du travail exposent les émetteurs concernés à une exclusion de l’univers d’investissement d’Amundi.

    De même, le Comité CERES de Crédit Agricole CIB, qui évalue les risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) de tout projet, supprime les dossiers de financement comportant des risques avérés en matière de droits humains et de droits du travail.

    Par ailleurs, des politiques sectorielles soucieuses des éléments environnementaux et sociaux sont en cours de déploiement dans l’ensemble du Groupe. Ces politiques ont inclus des critères d’exclusion sur la base du respect des droits du travail, dans toutes les transactions associées aux secteurs sensibles de l’armement (depuis 2010), de l’énergie, des mines et métaux et des transports (depuis 2013).

  • Le Crédit Agricole mène une politique active en matière de défense de l'environnement

    Le Crédit Agricole intègre la question de l’impact environnemental de ses activités à ses politiques sectorielles

    A ce titre, de nombreux projets jugés néfastes ont été refusés : mine de charbon Alpha Coal et terminal charbonnier d’Abbot en Australie, centrale au charbon de Batang en Indonésie, centrale au charbon de Rampal au Bangladesh, centrale nucléaire de Kaliningrad en Russie, tranches nucléaires de la centrale de Mochovce en Slovaquie, barrage hydro-électrique XPXN au Laos.

    Depuis mai 2015, le Groupe Crédit Agricole a décidé de ne plus financer les projets de mines de charbon ni les exploitants spécialisés dans cette activité.

     

    La banque a mis en place plusieurs outils de gestion du risque environnemental

    Élaboré fin 2013, l’outil de gestion du risque environnemental dans les décisions de crédit aux professionnels et aux PME est en cours de test dans trois Caisses régionales. Dans le cadre de sa démarche FReD pour 2014, la banque se donne également l’objectif d’intégrer directement les risques environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans l’analyse crédit des différentes entités du Groupe. Crédit Agricole CIB et Amundi ont chacun déployé cette grille ESG dans leurs métiers.

  • Le Crédit Agricole poursuit ses activités dans un véritable souci de transparence

    Le Crédit Agricole est la première banque française à avoir rendu publique sa charte de lobbying responsable

    Depuis 2013, cette charte encadre les pratiques de lobbying de l’entreprise afin que cette activité se déroule avec l’ensemble des parties prenantes et réponde aux meilleures pratiques en vigueur. Elle vient compléter une démarche entamée en 2009 avec l’enregistrement du Crédit Agricole au “Registre de transparence” de l’Union européenne.

    La banque publie depuis plus de 10 ans des éléments environnementaux et sociaux de l’ensemble de ses métiers dans le Document de référence et, depuis 2013, également dans un rapport RSE  distinct.

      

    Le Crédit Agricole est reconnu comme l’une des entreprises françaises les plus transparentes

    En 2014, à l’occasion de la 5e édition des Grands Prix de la Transparence pour l’information financière réglementée en France, le Crédit Agricole s’est vu remettre le Grand Prix du jury. Il s’agit de l’une des seules entreprises à figurer chaque année depuis 5 ans dans le top 20 de ce classement.

  • Le Crédit Agricole encadre strictement sa politique de financement de l'armement

    Le Crédit Agricole a mis à jour en 2023 sa politique sectorielle « Industrie de l’armement et commerce des armes » qui fixe le cadre général d’intervention et d’exclusion applicable en matière de financement, d’investissement ou de prestation de service accordés à des sociétés appartenant au secteur de l’armement et de la défense.
    S’inscrivant en conformité avec les positions européennes et française en matière de commerce des armes et tenant compte de l’évolution de la situation mondiale, cette nouvelle politique répond aux enjeux clients et sociétaux en lien avec le Projet du Groupe Crédit Agricole : 
     

    • Accompagner les entreprises de la Base Industrielle et technologique de Défense française (BITD),
    • Répondre aux interpellations des parties prenantes en matière de respect des droits humains, 
    • Reconnaître le droit des Etats à assurer leur sécurité et leur légitime défense et à accompagner les entreprises du secteur, tout en restant attentif aux risques liés au financement de l’industrie de l’armement et du commerce des armes. 

     

    Le Crédit Agricole n’autorise que le financement d’équipements d’armement et de défense soumis à un strict contrôle. Les opérations de commerce international d’armes légères et de petit calibres, d’explosifs et de munitions font l’objet d’une vigilance renforcée.

    La banque exclut de son financement un certain nombre d’armes et équipements, en raison de leur interdiction par des conventions internationales ou par les règlements de l’Union Européenne. Sont concernées : les armes nucléaires des Etats non dotés au titre du Traité de non-prolifération de 1970, les armes biologiques ou à toxines, les armes chimiques, les armes à éclats non localisables et les armes à laser aveuglantes, les mines anti-personnel, les équipements n’ayant « aucune autre utilisation pratique que celle d’infliger la peine capitale, la torture ou d’autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants », les armes à sous-munitions. 

    La banque ne finance aucune entreprise impliquée dans la mise au point, la fabrication, la production, l'acquisition, le stockage, la conservation, l'offre, la cession, l'importation, l'exportation, le commerce, le courtage, le transfert et l'emploi des biens exclus, qu’ils soient neufs ou d’occasion, et/ou dans la fourniture des prestations et services.
     

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